Le racisme n’est pas une opinion mais un délit!!!

anti racisme

L’analyse de la période actuelle conduit les syndicalistes de la CGT et en occurrence de la CGT PP a redoubler de vigilance face à la montée fasciste. La crise de 2008, les politiques « austéritaires »  et les alternances sans alternatives alimentent tous les jours un peu plus les discours d’exclusions, la xénophobie, le racisme.

Cet état des lieux de notre société a des conséquences dans nos entreprise et donc dans nos exigences syndicales.

 Analyse politique

Les similitudes avec les années 1930 sont frappantes, crise économique, crise politique, crise sociale. La politique gouvernementale est remise en cause à chaque mécontentement du petit ou du grand patronat. En revanche, lorsque la fonction publique manifeste, contre la « réforme » inacceptable des retraites, pas d’émotion de la classe politique.Les manifestations des bonnets rouges symbolisme le poujadisme que traverse la France, faut-il le rappeler patrie des lumières.

Toutefois, il ne faut pas croire que la CGT, ses militants, soient tout d’un coup devenu des défenseurs de l’État bourgeois mais nous savons en revanche que ce ne sont pas les idées courtes des fascistes qui nous permettront d’accéder à la République Sociale de Jaurès. Les Utopies des militants et militantes sont plus diverses, mais cet objectif est déjà une bonne base politique.

 Combat syndical

Ce constat social et historique est donc proche de celui des année 1930 et dans ce contexte laisserons passés aucun propos raciste à la Préfecture de Police. Des délégués ont fait remonté de la part de certains collègues des propos inadmissible et de certains chef de service des propos qui le sont tout autant.

La CGT-PP demande donc que l’administration rappelle à son personnel que depuis la loi Pleven de 1972 le racisme n’est pas une opinion mais un délit.

 

 

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