Nous sommes un journal. La une de libération le 8 février 2014 est faite pour interpeller. Depuis des mois libération est en crise ouverte avec les actionnaires est le président du directoire du journal Nicolas Demorand. Les journalistes en grève le vendredi ont contraints les actionnaires a dévoiler leur projet.
L’objectif, des actionnaires faire de libération une marque, un réseau social et le siège serait un lieu culturel pour faire des conférences. Nous sommes bien loin de l’idée que l’on peu se faire du journalisme.
Un journal n’est pas une marchandise comme les autres. Un journal permet à des millions des jeunes et moins jeune de prendre connaissance de l’actualité, politique, sociale, culturelle ou bien sportive. Libération, a permis à des millions de personnes de se construire une opinion ou de l’exercer.
Les journalistes de libération et SNJ-CGT sont en luttes. Celle-ci est précieuse, pour les conditions de travail des journaliste d’une part et d’autre part et pour la pluralité de la presse. Lorsque la diversité de la presse est en danger, la démocratie l’est aussi.
La lutte et la grève est le premier moyen d’action des syndicalistes, la grève puis démission de Nicolas Demorand le président du directoire est une victoire qui en appelle d’autres.